Catégories : Rencontres BDSM Femmes soumises sexuelles
il y a 5 ans
À 22 ans, je venais de trouver mon premier poste. Certes cette première affectation n’était qu’un remplacement de six mois pour un congé de maternité, puis il ne correspondait pas réellement à mes attentes, mais, je ne devais pas cracher dans la soupe. L’établissement ou j’étais affectée était de réputation nationale dans un quartier huppé, un Cdd qui rayonnerait admirablement sur mon curriculum vitae.
Je suis une jeune prof de mathématique et j’avais besoin de travailler. Faire office de surveillante adjointe et de suppléante était un passage obligé pour un départ dans le monde de l’éducation nationale qu’il ne fallait pas ignorer.
En quittant ma province, je montais à la capitale ou pour m’éviter des frais, mes parents s’étaient arrangés avec un couple d’amis pour m’héberger pour une somme modique.
Jean et Monique m’ont accueillit à bras ouverts. Il s’agissait d’un couple d’une bonne quarantaine d’années, parents de deux fils. Charles avait 20 ans et Victor venait d’avoir 16 ans.
J’étais logée dans une petite chambre sous les combles. Mon gite n’était pas très spacieux, mais j’avais un toit et les loyers à Bruxelles étaient hors de prix.
Dès le lendemain de mon arrivée, alors que j’allais prendre ma douche avant de me rendre au travail, il m’arriva une singulière aventure.
Jean et Monique étaient partis au travail et Charles l’aîné des fils avait prit son bus pour aller à l’université. Je descendis l’escalier qui me menait au premier étage et ou se trouvait la salle de bain des e n f a n t s. Ecologiste, je marchais dans le couloir sans allumer la lumière pour économiser de l’électricité.
Celle de la salle de bain ainsi que la porte était grande ouverte.
D’un coup, je m’immobilisais net. Victor était tout nu debout dans la baignoire et se touchait.
- Euh ! Oui…, il se touchait la chose !
La morale et le respect de son intimité aurait voulu que je tourne illico les talons, mais, la curiosité et une part de vice me poussa à légèrement me décaler.
Je fis en sorte que mon enveloppe charnelle soit invisible et que seuls mes yeux puissent reluquer le gros cochon.
Sa nudité me troublait, euh, surtout ce qu’il tenait.
Je n’étais pas ignorante de ces choses là, je n’étais plus vierge.
Voilà trois ans, j’avais eu un petit copain. C’était lui qui m’avait dépucelé avec un flirt gentillet de quelques mois.
Bien sûr, j’avais tenu sa virilité, je l’avais masturbé. Mais, je m’arrangeais toujours que notre flirt se déroule dans l’obscurité de sa chambre ou dans sa voiture, je lui faisais sa douceur ma main dans son pantalon.
Même si le soulager m’excitait, je trouvais cela dégoutant, un peu sale, surtout lorsqu’il éjaculait et qu’après, quand j’en avais plein les doigts, beurk !
Nous n’avions fait l’amour qu’une seule fois et je n’en ai pas gardé un souvenir intarissable.
J’avais ressenti une douleur puis j’avais perdu du s a n g et avec le recul, même si ce jour là, à l’occasion d’une fête, j’avais un peu bu, je n’avais pas connu l’extase dont se vantait ma meilleure amie.
La relation tourna court. Dès le lundi suivant, mon petit copain me plaqua par Sms et en arrivant dans l’amphi il avait fanfaronné auprès des autres camarades de classe pour leur dire qu’il m’avait sauté et que j’étais nulle au lit
À partir de là, je reconnaissais que j’avais mal jugé ce malotru, ce goujat qui après avoir obtenu ce qu’il voulait m’avais jeté comme une vieille chaussette et j’avais juré que l’on m’y reprendrai plus.
Victor s’activait comme un acharné en coulissant sur lui avec furie. Le cochon avait fermé les paupières et de ce fait, j’avais la possibilité de l’observer à loisir en percevant tout de même des petites décharges électriques dans mon bas ventre, mais aussi, mon entrecuisse s’humidifier.
Je n'avais d'yeux que pour son sexe dressé, son bout rougi et ses petites boules qui ballotaient.
À cet instant, devant ce spectacle impudique, je faillis glisser ma main dans ma culotte. Mes seins étaient tendus et un afflux de salive envahissait ma bouche.
D’un coup, Victor se cambra. Ses doigts sur lui devinrent incontrôlables et aussitôt un jaillissement explosif, puissant et blanchâtre s’éjecta de son sexe.
J’étais fascinée par ce déferlement tandis que Victor couinait haletant en finissant d‘éjaculer.
J’attendis qu’il en ai terminé ensorcelée par son plaisir de jeune mâle puis, je m’enfuyais comme une voleuse, sans me rendre compte que dans ma fuite, j’avais oublié ma trousse de toilette au sol devant la porte de la salle de bain.
-
Alors la provinciale, tu as fait ta voyeuse cochonne !
-
De quoi parles tu Victor ?
-
Ne fais pas ton innocente, le spectacle t’as plus ?
-
Mais enfin !
-
Oses nier le contraire. Les filles c’est bêtes comme des pieds. Tu as oublié ta trousse de toilette devant la porte.
-
Nooon !, fis je affreusement incommodée en posant mes deux mains sur mes joues.
-
Tu vois, ta mine te trahis. Tu as tout vu !
-
Je ne voulais pas Victor. Je ne voulais pas voir. C’est de ta faute, tu avais laissé ta porte ouverte.
-
Imagine que je dise aux parents que dès le premier jour, tu fouille partout et que tu espionne au trou de la serrure.
-
Mais c’est faux !
-
Qui crois tu qu’ils croiront ?
-
Tu ne vas pas faire cela Victor.
-
Tout dépend ! À toi d’acheter mon silence.
-
Mais c’est du chantage.
-
Oui, je crois que cela s’appelle comme cela.
-
Tu es odieux !
-
Alors, que décide tu ?
-
Que veux tu de moi ?
-
On en reparlera ce soir. Dans ta chambre, ne mets pas le verrou.
-
Tu es immonde !
-
C’est cela !, ricana-t-il très content de m‘avoir piégé.
Je ne savais pas encore ce qu’il me voulait, mais je craignais ce qu’il allait me demander.
Jean et Monique m’accueillaient et ils étaient si gentils. Victor était capable de leur raconter n’importe quoi.
Je pensais à mes parents, à ma réputation. Ce fut bien malgré moi que je m’entendis répondre.
-
Je ferai ce que tu veux Victor.
-
Te voilà enfin raisonnable !
À peine après avoir dit cela, je regrettais mes paroles, et tout le reste de la journée, je fus indisposée par ce qu’il m’attendait.
Dès mon arrivée dans l’institution, je me présentais chez monsieur le directeur.
Son bureau était bien gardé par une secrétaire à qui il fallait montrer patte blanche.
Après m’être présentée, la vieille bique à lunettes me fit entrer dans le bureau du proviseur.
L’homme, la bonne cinquantaine, était assit derrière son bureau. Il ne dénia même pas lever la tête occupé à lire un journal.
Je le détaillais.
Il était presque chauve et était enrobé, plutôt petit, avec un ventre qui boudinait sa chemise.
- Hum, hum !, fis je pour lui faire remarquer ma présence.
D’un coup, le directeur leva son visage gras et silencieusement il me détailla de la tête aux pieds.
C’est yeux brillants me déshabillait avec intensité au point que j’en étais très gênée et comme une gamine coupable je regardais mes chaussures.
-
C’est donc vous Carine K… qui allez remplacer madame Durieux.
-
Oui monsieur le directeur.
-
Serez vous à la hauteur, vous me paraissez si jeune !
-
J’ai tous mes diplômes monsieur.
-
Il y a un monde entre être sur la réalité du terrain et vos livres d‘enseignement.
Vous devez surveiller les élèves, mais aussi établir un relationnel avec les parents.
Vous allez également devoir tenir une salle de classe lorsqu’un de nos professeurs sera souffrant.
-
Je sais monsieur le directeur !
-
C’est quoi cette accoutrement ?, me lança-t-il .
-
J’ai mis une robe un peu strict. Je pensais qu’elle convenait à votre établissement.
-
Vous ressemblez à un sac à patates. Nous ne sommes plus en 1960 mademoiselle K.
Retroussez votre robe que je vois vos jambes !
-
Mais !
-
Oseriez vous, dès le premier jour contester votre hiérarchie ?
-
Euh, bien sûr que non monsieur le directeur !
-
Alors, qu’attendez vous ?
Je me sentais très mal de devoir m’exposer, mais malgré le scabreux, mes deux mains allèrent se saisir coté hanches de mon vêtement.
En tirant vers le haut, je remontais ma robe au dessus du genoux.
- Plus haut !, monta d’un ton mon interlocuteur.
Un peu dans le coton, j’obéissais encore pour relever jusqu’à mi-cuisses.
- Mademoiselle K… votre timidité me déçois. J’y vois là un manque de témérité. Vous avez de belles jambes, il faut les montrer. Soulevez encore.
Presque la larme à l’œil tremblante et gauche, je me retroussais jusqu’à la limite de ma culotte.
-
C’est mieux, tournez vous !
-
Oui monsieur., dis je en m’exécutant dans une torpeur qui montrait mon trouble.
-
Vous avez de belles cuisses ma chère. Je me demande de quelle couleur est votre culotte.
-
Elle est blanche monsieur.
-
Laissez moi juger par moi-même. Remontez votre jupes sur hanches.
-
Mais enfin !
-
Madame Durieux était moins farouche. Nous allons collaborer ensemble. Je suis un patron exigeant. Si ma façon de travailler vous dérange, vous pouvez rentrer chez vous.
Ne me le faites pas répéter deux fois !
Dans un nuage et une grande honte, je cédais à sa demande pour me retrouver en petite culotte, de dos, face à mon employeur.
-
Lorsque l’on a un joli petit cul comme le votre, il n’y a aucune honte à le dévoiler.
-
Oui !
-
Dommage que votre culotte soit un peu large. Je ne distingue pas bien les formes. Je ne veux plus que vous portiez ses horreurs.
-
Bien monsieur.
-
Enlevez là et ensuite, vous me la passerez ! Sinon, prenez la porte.
Je n’en croyais pas mes oreilles de ce que je venais d’entendre, mais comme une poupée obéissante, je m’exécutais en retardant le plus possible le moment ou j’allais me retrouver les fesses et l’intimité à l’air.
-
Vous voilà raisonnable mademoiselle K… Désormais, vous ne porterez plus de culotte. Je veux une mini jupe, des talons hauts et des bas !
-
Oui monsieur !, arrivais-je à dire dans un s a n g lot.
-
Ce joli petit cul a dût en faire des ravages. Avez-vous un amant pour s’en occuper !
-
Je suis célibataire monsieur.
-
Donnez moi votre culotte.
Je fis un demi tour du haut de mon corps en restant de dos, ainsi, je préservais l’essentiel.
Les yeux perçant s’emparèrent de mon linge et aussitôt, l’homme assit derrière son bureau porta mon sous vêtement à son nez.
-
Hum ! Vous sentez bon de la chatte mademoiselle K.
-
Vous me gênée monsieur le directeur.
-
Pendant que nous y sommes, montrez moi également vos seins. Enlevez immédiatement votre robe et votre soutient gorge.
Je n’étais plus moi, j’obéissais à chacun de ses ordres et je me retrouvais complètement nue face à cet inconnu qui était mon supérieur.
- Marchez jusqu’à la porte et fermez le verrou !
En m’exécutant, je savais à l’avance qu’il n’allait pas en rester là.
-
Allongez vous sur mon bureau et écartez vos cuisses !
-
Mais enfin !
-
A ce point, il serait navrant de ne pas me contenter.
Comme une automate, je me couchais sur le dos et les paupières closes, j’ouvrai le compas de mes cuisses.
- Que c’est mignon !, commenta mon tourmenteur
Mais, je rêve ou ce joli minou est tout humide ?
Seriez vous une petite salope mademoiselle K…
L’insulte me fit l’effet d’une gifle, mais je ne bronchais pas !
Des doigts se posèrent sur ma cuisse et remontèrent vers mon intimité.
En tournant la tête l’espace d’un instant, je vis une énorme bosse qui déformait le pantalon du directeur.
Aussitôt, comme brûlée, je détournais le regard de l’autre coté. Il bandait !
Il me pressa les seins et sa main prit possession de mon intimité.
- Oui, vous mouillez ma chère. J’aime les femmes qui mouillent fort.
Mon persécuteur me fouilla, il m’enfila, un puis deux doigts tout en continuant à malaxer l’un de mes seins.
-
Votre chatte est très étroite. Elle n’a pas dût beaucoup servir ! Vous n’êtes plus vierge ?
-
Non monsieur !, dis je gémissante et réactive au tripotage de mon patron.
-
Vous faire manier vous excite. Je vais vous faire jouir !, dit il en coulissant dans ma gaine de plus en plus vite.
Ce sale bonhomme arrivait à ses fins et peu à peu, je sentais l’orgasme monter.
Je fus sauvée par le gong. D’un coup, le téléphone sonna. Monsieur le directeur, les doigts dans mon vagin délaissa ma poitrine et s’empara de l’appareil.
-
Adèle, j’avais demandé que l’on me dérange sous aucun prétexte !
-
Je sais monsieur, mais l’inspecteur d’académie est en avance à son rendez vous !
-
Ces fonctionnaires n’ont-ils que cela à faire que d’aller emm e r d e r les gens qui travaillent.
Adèle !
-
Oui monsieur !
-
En sortant, donnez donc un bon d’achat à la boutique Adam et Eve à mademoiselle K..
De l’autre coté du fils, la vieille mégère à lunettes ricana. Ainsi était elle dans la confidence.
Le directeur raccrocha et sembla réaliser que j’étais nue couchée sur son bureau et que ses doigts étaient dans ma chatte.
-
Mais que faites vous mon petit, rhabillez vous !
-
Euh ! Oui monsieur !, fis je en sautant du bureau un peu frustrée de n‘avoir pas joui.
-
Vous ne perdez rien pour attendre. Demain, je vérifierai à nouveau votre accoutrement ainsi que votre flexibilité à mes ordres
Je pris mes affaires et je ne demandais pas mon reste pour me rhabiller prestement.
- Je garde votre petite culotte comme trophée ! Continuez comme cela mademoiselle et notre collaboration devrait bien se passer ! Un maître mot, obéissance.
En quittant le bureau, la vieille secrétaire binoclarde m’interpella tandis que le directeur faisait entrer l’inspecteur d’académie à ma suite.
- Je vous ai préparer votre bon d’achat à la boutique précitée.
Prenez des bas et des portes jarretelles. Il est inutile de prendre des strings, mais vous le savez déjà. Qu’en aux soutiens gorges monsieur le directeur les aiment forts dégagés avec le téton apparent.
Je n’en revenais pas d’attendre cela.
Ils vendent des talons hauts qui affineront vos jambes et aussi des minis jupes au raz des petites affaires.
En attendant suivez moi, nous allons aller en salle des profs boire un café. Je vais vous les présenter ainsi que monsieur le sous directeur qui est votre supérieur direct. Comme avec monsieur le directeur, il va falloir vous adapter avec ses méthodes.
Ne faites pas cette tête, vos autres collègues féminines de cette établissement y sont toutes passées avant vous.
En arrivant dans cette salle, se tenait une quinzaine de personnes. Il y avait six hommes et dix femmes dont la majorité avaient moins de trente ans et étaient vêtues très sexy.
-
Voici monsieur le sous directeur !, me présenta la vieille peau !
-
C’est vous la nouvelle !, me salua un homme d’environs trente cinq ans avec un sourire désarmant.
-
Je m’appelle Carine K…
-
Appelez moi Benoit ! Vous êtes une jeune femme charmante, lança-t-il aussitôt en me déshabillant du regard et sans lâcher ma main.
Je ne trouvais comme dérobade, comme avec le directeur que de piquer mon fard, de me sentir rougir et de baisser la tête vers mes pieds.
- Venez avec moi très belle Carine, je vais faire les présentations.
Voici monsieur Lambert, notre prof de biologie. Monsieur Laurent prof de technologie, monsieur Duval, prof de musique, monsieur Lalande, prof de chimie et enfin monsieur N’Guyen, notre prof de sport.
Tous ces messieurs se feront un plaisir de vous guider et de satisfaire vos moindres désirs. Mais vous pouvez aussi compter sur moi.
- Je ne sais que dire !
Après observation, les profs masculins de cette établissement n’étaient pas des Apollons et en dehors de Benoit, le sous directeur qui en imposait de beauté, seul le prof de gym, qui était un homme de couleur et aussi une armoire à glace avait un visage plaisant.
- Maintenant au tour de notre vivier féminin.
Voici Mlle Docile et je vous assure qu’elle porte bien son nom., ricana mon supérieur pleins de sous entendus.
Comme moi, la jeune femme piqua son fard et baissa les paupières.
-
Je suis la professeur d’arts plastique !, dit elle en bégayant.
-
Cette si jolie bouche appartient à Madame Courtois.
-
Oseriez vous dire que je ne sais pas m’en servir ?, lui rétorqua une jolie brune avec une alliance à son doigt.
-
Jamais je ne prétendrai cela !
-
Ne suis-je pas la prof de langue vivante.
-
Madame Courtois, ou plutôt Suzy est notre prof d’espagnol.
-
Voici Mlle Cocu, notre prof d’histoire.
Madame Machin, prof de sexualité. Sylvie enseigne le Latin, Madame Barrière, l’anglais, Noëlle, l’allemand, Bérangère le français, madame Lacroix les maths, mlle Bignouf, la géographie.
Et enfin, cette jolie rouquine est Madame LebŒuf notre professeur d’éducation civique.
Madame LebŒuf va prendre ma suite pour vous expliquer votre rôle et les règles de cette établissement.
Nous aurons l’occasion de nous revoir, de nous revoir très prochainement.
Le sous directeur tourna des talons et s’éloigna.
-
Quel dragueur ce Benoit ! Tout ce qui porte nichons est une proie. Je crois que tu lui a tapé dans l’œil Carine.
-
Euh, je ne sais pas madame Lebœuf !
-
Appelle moi Olivia. Rassure toi, c’est un bon baiseur.
-
Mais, je n’ai pas l’intention de …. !
-
Ne dis pas fontaine …, le tombeur de ces dames. J’en connais pas une qui n’a pas écarté les cuisses ou mise son nez dans sa braguette.
-
Oh !!!
-
Tu feras comme les autres. Je ne te donne pas une semaine avant de passer à la casserole.
-
Mais vous êtes mariée !
-
Pfrrr ! Ce n’est jamais qu’un coup de queue ! S’il n’y a que cela pour garder sa place.
En sortant de l’établissement vers 17h, je filais à l’adresse indiquée, à la boutique Adam et Eve pour m’acheter les vêtements et les sous vêtements que m’avait recommandé la vieille secrétaire à lunettes.
Dans la journée, Olivia m’avait déjà informé de petits potins. Ainsi Mme Machin couchait avec monsieur Duval.
Madame Courtois, la jolie brune suçait tous les profs du collège.
Aucune des femmes ne portaient de culotte et chacune devait distribuer des privautés et ses faveurs au directeur, mais aussi au sous directeur.
- Je préfère m’occuper du bâton du tombeur de ces dames que celui du vieux machin du tôlier. Ce n’est pas une sinécure pour le faire bander et sucer sa vieille saucisse décatie et blafarde pour obtenir de la raideur, me donne mal aux mâchoires. Qu’en à son ventre, c’est indisposant pour bien le travailler.
Toi aussi, tu as dut le sucer ?
-
Non et je n’ai jamais fait de choses comme cela !
-
C’est étonnant ! Moi, le jour de mon embauche, j’ai dus lui faire une gâterie. Il ne t’as pas fait de truc ?
-
J’ai dus me mettre toute nue et… et, il m’a tripoté !
-
Et lui, il n’a rien eu ?
-
C’est que, il avait rendez vous avec l’inspecteur d’académie.
-
Je comprends mieux. La prochaine fois, tu n’y couperas pas.
Il adore se faire sucer le bout le vieux machin.
D’un autre coté, je préfère lui faire sa bouffarde, il baise comme un manche ce vieux pervers.
Tu n’as jamais sucé une bite ?
-
Non jamais, je trouve cela dégoutant. Tu comprends, c’est par là qu’ils pissent les garçons.
-
Qu’est-ce que tu en as à faire. Tu salive un bon coup sur le truc histoire de faire la vaisselle et on en parle plus.
-
Beurk ! Puis le sperme, c’est dégueulasse le sperme.
-
Bof, je ne trouve pas. En fait, j’aime bien !
De toutes façons, il va falloir t’y mettre. Que ce soit le vioque ou le beau gosse, tu vas devoir jouer du pipeau et avaler la semoule, sinon, tu vas passer pour une mal élevée et tu ne vas pas marquer des points.
Si tu veux des conseils, tu n’as qu’à demander à lèvres en feux.
-
Lèvres en feux ?
-
Suzy la prof d’espagnol ! Elle turlute tout ce qui bouge. C’est une spécialiste. Je l’ai même surprise à sucer des élèves de terminale !
-
Nooon !
-
Parfois certains me font fantasmer et comme les punitions se passent sous le bureau, il m’arrive d’entrouvrir les cuisses et de m’exhiber en imaginant le lascar se palucher à quelques centimètres de moi.
-
Mais cet établissement est un lupanar ?
-
On peut dire cela ! Les hommes agissent en machos, mais au fond du compte, chacun y trouve son compte. Il ne faut pas oublier que pendant qu’on se fait baiser ou que nous donnons de notre salive, l’éducation nationale nous paye.
-
Tout de même !, fis je catastrophée.
-
Tu te souviens de Mlle Docile, la prof d’arts plastiques ?
-
Oui, elle semble aussi timide que moi.
-
Cette idiote n’a aucune personnalité. Elle accepte tout et n’importe quoi.
-
Comment sais tu cela ?
-
Je suis dans les petits papiers de la vieille peau à lunettes.
-
Tu parles de la secrétaire ?
-
Oui, elle ! Méfies toi, elle est bique et bouc, elle bouffe dans toutes le gamelles et parfois participe aux parties fines dans le bureau directorial.
-
Nooon !
-
Vieille ou pas, elle aime bien se faire mettre par le gros en léchant un bel abricot.
Bref, la Docile, c’est le jouet des trois Dalton.
-
Les Dalton ?
-
Le vioque, la vioque et le beau gosse.
La Docile fait des pipes en duo et pendant qu’il l’enfile par devant et par derrière, elle lèche la vieille cramouille de la secrétaire.
-
Noooon !
-
Je te le jure. Pire que cela, lorsqu’elle fait une connerie, et comme dirait l’autre, elle est pas futée, c’est N’Guyen qui se charge de la punir avec son gros machin.
Ce gars est monté pour deux, tu verrais le mandrin. Il la sodomise à sec et cette conne gueule comme une truie qu’on égorge !
Heureusement, le bureau du vioque est insonorisé, sinon, allo les pompiers et pendant deux jours la Docile marche en canard.
De retour chez Jean et Monique, j’étais chargée de paquets.
-
Ouh lala, tu as fait chauffer ta carte bancaire ?, s’amusa Monique.
-
Le directeur m’a octroyé un bon d’achat. Il dit que ma tenue est trop strict et ne correspond pas à l’image du lycée.
-
Ta première journée c’est bien passée ?
-
Admirablement !, dis je menteuse sans vouloir entrer dans les détails.
-
Tu en as de la chance. Tu es tombée dans une bonne maison.
Fais nous voir tes achats !
- Ils viennes de la boutique Adam et Eve à ce que je vois !, se mêla Jean.
Serais tu une petite coquine ?
-
Ils en vendent des drôles de choses !, admis je.
-
C’est là que nous avons acheté nos Sextoys et nos petits accessoires.
-
Des accessoires ?
-
Jean et moi sommes très coquins. Boules de geisha, coking, menottes. Il faut pimenter sa vie sexuelle. Nous aimons les scénarios, les jeux de rôle, c’est si excitant. L’autre jour, Jean m’a ramené une tenue de bonne sœur.
Rarement, je l’ai sentis si raide et si hardent.
-
Regarde ces soutiens gorges. C’est l’éducation nationale qui te paye ça ?
-
Oui Jean.
-
C’est un soutif de catin !
-
Je veux le même Jean., réclama Monique.
-
Avec cinq tailles au dessus !
-
Moque toi gros dégoutant. Tu ne dis pas toujours cela, lorsque je joue à mon espagnole.
-
Je les adorent tes mamelles de vache laitière.
Plus tard, Victor me coinça à l’étage. Devant ma journée pleine d’émotion, je l’avais presque oublié lui.
- On va voir si tu tiens parole la provinciale. Ne ferme pas ton verrou, sinon…. !
Après le diner, je montais dans ma chambre de bonne. Je savais que ce petit m e r d e ux de Victor n’allait pas tarder à venir me rejoindre.
Ma chambre sous les combles était très mal ventilé et il faisait une chaleur à crever.
J’avais changé mon habillement pour ne me couvrir que d’un long t-shirt.
D’un coup, j’entendis des pas et ma porte de chambre s’ouvrit sur le jeune ado.
- C’est bien, tu n’as pas fermé ta porte., fit il l’air méchant.
Il était en Marcel et n’avait sur lui qu’un caleçon douteux.
- Que me veux tu ?
Victor cafouilla dans son caleçon et il en ressorti son sexe flasque et recouvert de peau.
-
Si tu commençais par me faire une petite branlette ?
-
Tu n’es qu’un salop !
Il s’avança vers moi en ôtant son caleçon. Je voyais sa bite et aussi ses couilles qui n’avaient presque pas de poil.
Pour moi, c’était réellement la première fois en dehors de ce matin que je voyais un sexe d’homme si proche.
-Touches moi la bite, fais moi bander.
Victor prit ma main et la porta sur son sexe.
- Tu es immonde !
Je protestais pour la forme, mais je me rendais bien compte que je ne demandais que cela.
Je fis coulisser son prépuce. Une forte odeur de pisse et de sperme séché m’emplit mes narines !
Je n’avais d’yeux que pour sa bite qui s’emplissait de s a n g . Mmm, c’était chaud, moelleux et dure en même y temps.
-
Vas y, astique moi le manche !
-
C’est dégoutant !, dis je en en pensant pas un mot.
-
Tu branles mieux que mes copines, on sent que tu aime ça la bite.
Désormais, Victor bandait et je me surprenais à mouiller. Voir son sexe, son gland brillant et v i o l acé, ses couilles balloter et se rétracter m’excitais.
-
Fais moi un French Kiss !
-
Quoi !
-
Prends ma bite dans la bouche !
-
C’est dégueulasse !
-
Suce, sinon, j’en parle aux parents.
-
Nooon, pas cela !
Victor présenta son appendice à quelques centimètres de mes lèvres.
Il puait. Il puait la pisse et la transpiration.
- Ouvre ton bec, lèche moi le bout !
Je cédais à son caprice. Timidement ma langue alla au contact. Beurk !
Je suivais le conseil d’Olivia, j’embouchais et je salivais fort pour ôter l’odeur fétide.
- Oui, comme cela. Asticotes moi le bout avec la langue. On sent que tu aime ça pomper une bite.
Je ne pouvais pas répondre. J’avais la bouche pleine et Victor me maintenait derrière la nuque.
- Oui, oui, oui ! Je sens la mayonnaise monter !
Victor se servait de ma bouche comme d’une poupée gonflable, mais, je me surprenais la langue active à l’agacer.
-
Sale pute ! Tu vas me faire jouir !
-
Hooommmm !
-
Je vais te juter dessus !
Victor s’échappa. Il me coucha sur mon lit à plat dos. Rapidement, il releva mon t-shirt sur mon nombril et aussitôt, il se masturba avec rage.
Comme ce matin, je ne ratais rien de son éjaculation. Sauf que cette fois, j’étais directement concerné par ce gros bouillon.
Il m’en colla sur le pubis, sur mon linge, et également plein la chatte.
J’étais fascinée !
Victor s’était enfui. Il avait déchargé sur mon ventre et aussitôt, il avait rentré son sexe baveux en remettant son caleçon puis avant de partir, il m’avait dit
- Demain je reviendrai, tu fais un bon vide couilles.
Son sperme refroidissait et mes doigts allèrent s’y confronter. Il n’y avait que moi et moi.
Je m’amusais un instant à me le tartiner. Il y avait mis le paquet. Une pulsion, une curiosité, j’en saisissais un belle bille tandis que mes doigts étalaient sa semence sur ma chatte baveuse de désir.
- Ohhhhh, c’est booon !
Je me masturbais en regardant le sperme sur mon doigt.
- Je vais jouir !
J’avais débusqué mon clitoris et deux doigts me fouillaient le vagin.
- Aaaaaarhhhhhhhh !
Je portais mon doigt graissé à ma bouche. Mes narines humèrent ses senteurs !
Pourquoi ! Mais pourquoi ne m’avait il pas baisé ?
Ma langue alla au contact, elle lapa la grosse perle de plaisir.
- Hoooomm !
C’était très musqué, un peu amer, salé. mais ça sortait d’une bite. !
Rien que l’image me régala, d’autant que les spasmes de ma stimulation agissaient.
Je gobais tout
- Hoooomm !
Je fis tourner sur ma langue et sur mon palais ce nectar masculin qui venait d'une bite.
Olivia avait raison, Mmmm, c’était boooon.
La bouche aromatisée, je jouissais, avide de le savoir revenir le lendemain.
Le mardi matin, je partais pour le lycée dans la tenue que m’avait indiqué monsieur le directeur.
Je me sentais très gênée et émoustillée en même temps.
C’était la première fois que je sortais sans culotte et étant donné que ma jupe très moulante ne m’arrivait que juste en dessous de l’endroit ou mes cuisses se joignent, j’avais la sensation d’être nue avec ce sentiment que tous les occupants du bus, femmes et hommes me regardaient avec le regard réprobateur de celles de mon sexe, tandis que les messieurs, de 7 à 77 ans me décortiquaient en bavant.
Plus d’un me firent des clins d’œil salaces et qu’elle ne fut pas ma honte lorsqu’un pépère les yeux exorbités et dépourvu de dents fit aller sa langue dans une simulation explicite.
J’étais très contente en voyant l’arrêt se profiler de pouvoir descendre du transport en commun proche de l’école.
Là encore, je fus abordée par un groupe de jeunes , sans doute des élèves de l’institution qui me lancèrent des quolibets graveleux.
-
Tu as vu ce prose. Mais quel cul !, s’écria l’un d’eux.
-
Il est canon !
-
Elle fait sa petite allumeuse !, en fit un troisième.
-
Elle est chouette cette meuf ! Attends, vous allez voir les molosses !
Ce jeune plus téméraire que les autres m’aborda. Avec culot, il passa son bras autour de ma taille et me dit des obscénités.
-
Si tu veux, toi et moi, on peut aller sous une porte cochère !
-
Mais enfin, lâchez moi, je ne vous connais pas.
-
Justement, l’un dans l’autre, faisons connaissance., fit il en commençant à me peloter les fesses.
-
Je vous demande de vous arrêter !
-
Je rêve les mecs. Elle a pas de culotte !, lança-t-il à ses copains en me fichant la honte.
-
La salope !, ricanèrent les trois autres.
-
Si tu veux, j’ai un gros sucre d’orge qui te tiendra chaud.
-
Mais enfin, laissez moi !
-
Allez fringué comme t’ai, tu cherche un coup de queue. Tu nous taille une pipe à tous les quatre et on le laisse partir !
-
Mais, vous êtes fou !
Un problème Mlle K…. ?, se mêla une voix pas inconnue.
Ces jeunes gens vous importunent ils ?
Je tournais la tête vers mon sauveur. À cet instant, je croisais le regard de Benoit, le sous directeur, tandis que mes tourmenteurs s‘enfuyaient en courant.
-
Oh merci, merci monsieur le sous directeur.
-
Je vous ordonne de m’appeler Benoit, Carine !
-
Euh, oui. Vous m’avez rendu un grand service, Vous avez vu comment ils étaient lourds !
-
Je l’ai aient reconnu. Il s’agit des 4 cancres du lycée et le plus incisif n’est autre que le chef de bande, un élève qui repique son bac à trois reprises.
-
Mais pourquoi conservé un tel énergumène ?
-
Son père est puissant et de plus, il est conseillé municipal. Ça n’irait pas dans notre sens que d’exclure ce gamin bon à rien.
-
Tout de même, sans votre intervention, je ne sais ce qu’il se serait passé.
-
Il faut dire que je suis scotché par votre métamorphose.
-
Euh !
-
Vous faites très femme et cela ne laisse pas de bois.
Je vais vous accompagner jusqu’à l’institution. De toutes façons, j’avais des dossiers à vous montrer.
-
Je dois aller me présenter chez monsieur le directeur.
-
Aujourd’hui, il n’arrive qu’à dix heure. Cela nous laisse largement du temps pour nous entretenir.
Benoit posa sa main à la jointure de mon coude et m’entraina avec lui.
Arrivée dans l’enceinte du lycée, par discrétion, il lâcha mon bras.
- Suivez moi dans mon bureau !
En marchant, nous croisâmes Mlle Docile les bras emplis de cahiers qui en voyant le sous directeur accéléra son pas en regardant par terre.
-
Mlle Docile !, stoppa net mon voisin.
-
Oui monsieur.
-
J’ai une dernière touche à ajouter à votre programme d’art plastique. Passez donc dans mon bureau vers 13h30 !
Aussitôt, Mlle Docile devint rouge comme une pivoine et bégaya plusieurs fois un oui qui ne sortait pas.
Je pénétrais dans la pièce ou d’autorité, le sous directeur donna un tour de verrou.
-
Les dossiers sont confidentiels et je ne voudrais pas être dérangé., tenta-t-il de se justifier.
-
Du quoi s’agit il ?
-
Regardez, ils sont déjà sur mon bureau !
J’allais devant sa table de travail pour y découvrir quelques prospectus sur des tenues de travail.
-
Mais qu’est ce donc ?
-
Je dois choisir une tenue pour notre homme d’entretien ainsi qu’une autre pour notre jardinier. Je pense que l’avis d’une femme serait plus judicieux. Regardez attentivement.
Je me courbais sur sa table de travail, mais je ne compris ou il voulait en venir lorsque qu’il se plaça derrière moi, chacune de ses mains passant sous mes aisselles et qu’il me saisit les seins.
Comme pour confirmer ce que je pensais, son pubis se colla à mes fesses.
De suite, je ne pouvais pas ignorer l’état d’excitation ou il se trouvait.
-
Mais monsieur, que faites vous ?
-
Tu me fais bander. Tu sens l’effet que tu me fais ?
-
Euh, s’il vous plait !
-
Allez, pas de minauderies, laisse toi faire, nous allons travailler ensemble., fit il en me malaxant les seins et en se frottant contre moi.
-
Mais !
-
Chut ! Je suis sûr que tu mouilles.
L’une de ses mains délaissa ma poitrine et s’insinua sous ma jupe. Étant donné le peu de tissus, il n’eu pas loin à aller pour trouver mon intimité.
Sans attendre, il commença à me doigter.
-
Monsieur le directeur, monsieur le directeur !, fis je déroutée.
-
Oui, tu mouilles petite cochonne et toi, tu me fais bander.
Le scélérat savait ou frapper et je dois me l’avouer, assez rapidement, je ne cherchais plus à me débattre.
-
Oh, ah !
-
Tu vois, tu aime ça !, s’exclama-t-il après m’avoir dépoitraillé.
D’un coup, il me retourna face à lui. Il retroussa ma mini sur mes hanches en m’exhibant la chatte à l’air en porte jarretelles et en bas et aussitôt, il appuya sur mes épaules pour me faire m’accroupir.
- Sors ma queue, oui, sors vite ma queue !
L’état et la bosse qui déformait son pantalon était sans aucun doute possible.
- Allez, ne fais pas ta timide !
Sans protester, je fis descendre sa braguette. Il m’aida en débouclant sa ceinture et en ôtant le bouton du haut.
Aussitôt, il écarta son caleçon et son sexe dressé me sauta au visage.
- Oh !, fis je surprise par son état de raideur.
Son sexe bandait plus haut que l’horizon et son gland était déjà à moitié décalotté. C’était le plus généreux que je voyais.
Benoit attrapa ma main et la déposa sur le cylindre de chair.
- Branle moi la bite, je n’en peux plus !, fit il exalté.
Mes doigts firent comme avec le jeune Victor, sauf que là, ce que je tenais était du calibre au dessus.
Je ne pouvais quitter des yeux son organe sur lequel courait une grosse veine bleue, mais surtout, j'étais fascinée par son gros gland v i o l acé qui démarquait du reste de son sexe.
-
Oh oui ! Prends moi dans ta bouche !
-
Mais Benoit !, protestais je pour la forme.
-
Suce !
Benoit m’encouragea en appuyant sur ma nuque et mes lèvres se retrouvèrent sur son engin.
Sans opposer de résistance, ma bouche s’ouvrit et le rondelet de son bout glissa sur ma langue. En dehors de Victor, jamais je n’avais prodigué cette caresse et contrairement au fils de mes logeurs, il fallait gérer.
Je suçotais, je lichais, je tentais même de faire virevolter ma langue autour du gros pruneau. Benoit se laissa faire un moment en grognant, mais je sentais bien qu’il s’énervait.
-
Ce n’est pas possible. Tu n’as donc jamais sucé de bite !
-
Honmm !, fis je la bouche pleine.
-
Tu vas devoir prendre des cours en accéléré et je ne vois que madame Courtois et sa jolie bouche pour t'éduquer à faire des pipes.
-
Honmm !, tentais je de signifier mon désaccord.
Benoit continua encore un instant à se servir de ma bouche comme d’un vagin.
- Non vraiment, c’est pas cela ! Redresse toi et mets toi les coudes à plat sur mon bureau !
Sans discuter, je me positionnais comme il le souhaitait. De suite, je sentis Benoit glisser sa vigueur entre mes cuisses.
- Ecartes les jambes !
Je déplaçais l’un de mes pieds. Aussitôt mon supérieur tâtonna et presque dans la seconde s'introduisit, jusqu’à la racine.
Cela faisait presque trois ans qu’un pénis ne m’avait pénétré et ce qui était en moi n’avait rien à voir et ne plaidait pas en faveur de ce que possédait mon unique amant.
-
Aaaarfffffff !, hurlais je de surprise et de joie.
-
Tu là sens bien ma queue ?
-
Ouiiiiiiiiiiiii !, criais je avec ce réflexe de tendre les fesses.
-
Je te baise !, fit aussi exalté que moi, le sous directeur en se trémoussant et en pilonnant ma gaine comme un dératé.
-
Ouiiii, ouiiiiii, Oh ouiii., braillais je trop contente de le sentir remuer.
Benoit y allait avec rage, avec puissance et ses deux mains me broyaient mes globes mammaire.
Je ne pouvais retenir des soupirs, des râles, des divagations.
-
Tu vas t’en prendre pleine la chatte ! Je vais te juter dedans !
-
Non ! Je ne prends pas la pilule !, réussis je à dire.
Benoit se retira virilement. Il me tira par les cheveux en m’obligeant à me retourner, mais aussi à m’agenouiller.
Il maintenait son sexe affreux à voir et tartiné de ma mouille.
D’un coup, il se manualisa et il éjacula en dirigeant ses jaillissements furibonds sur mon visage.
Il m’en tartina du front au menton et je ne sais ce qu’il m’arriva, mais j’avais la bouche grande ouverte quémandeuse pour en capter le plus possible.
Une grande bolée de sperme s’y engouffra en s’écrasant sur ma langue, mais aussi sur mon palais. Je ne pouvait le nier, c’était salé, amer, gras.
Mais j’aimais cela !!!
Ce ne fut qu’après m’être essuyé le visage que je quittais le bureau de Benoit.
Je devais reconnaitre qu’Olivia la rousse, celle qui me chaperonnait avait raison.
Le sous directeur m’avait bien baisé.
Je savais qu’il n’en resterai pas là, car avant de partir, il m’avait conseillé.
-
Profite de ton samedi pour aller chez ton médecin.
-
Mais pourquoi, je ne suis pas malade.
-
Tu lui demanderas la pilule. Comme cela, je pourrai te juter dedans.
-
Oui, euh monsi…, euh Benoit.
-
Je parle également à madame Courtois de tes petites lacunes. Je t’assure, ce n’est pas un luxe.
-
Fais comme tu veux Benoit.
Pendant une heure, je gardais une classe de troisième qui était en permanence.
Plusieurs élèves faisaient le chantier au point que Bérangère, la jeune prof de français qui tenait la classe d’à coté entra en catastrophe dans ma pièce.
- C’est quoi ce bordel !
Quelques élèves chahutaient, ils se lançaient des affaires et au fond de la classe, ce que je n’avais pas remarqué, un élève avait glissé sa main sous la jupe de sa voisine qui semblait ravie.
- Nathan, debout immédiatement !, hurla Bérangère.
Le garnement se dressa pris en faute.
Il aurait fallu être aveugle pour de pas voir l’état de son bermuda. La bosse qui l’enflait ne passa pas inaperçu et les autres élèves, filles et garçons ne ratèrent pas de commenter.
-
Il bande !
-
Il a la trique !
-
C’est quand tu veux Nathan !, se moqua une élève.
-
Taisez vous, sinon, c’est trois heures de colle !
Vous me copierez deux cent fois.
En classe, je me tais, je respecte mon professeur et on doit entendre les mouches voler.
Les élèves marmonnèrent.
- Nathan, je te dispense de cette punition. Tu sais ce qu’il te reste à faire !
Tu vas aller sous le bureau de la surveillante y passer le reste de ton heure de permanence.
Cependant, en rentrant chez toi, tu copieras cinq cent fois. Je ne fais pas d’attouchements à ma voisine de classe.
-
Pffrrr !
-
C’est comme cela ! Je compterai chacune des lignes et s’il en manque une seule, je te mettrai la fessée le pantalon sur les chevilles.
Nathan passa sous mon bureau. Cela m’embêtais un peu, car je savais qu’il était excité, mais aussi que comme Bérangère et toutes les autres professeures de mon sexe, ma jupe était plus que courte.
Dépourvue de culotte, je n’avais qu’une chose à faire, serrer les cuisses, pour ne pas qu’il s’aperçoive que sous ma jupe, il n’y avait rien et que j’étais cul nu.
Bérangère avait obtenu le silence et mes élèves désormais muets, faisaient marcher leur crayon.
À ma montre, cela ne faisait que quinze minutes que j’avais pris en main avec plus ou moins de réussite ma permanence.
Je tuais le temps en m’instruisant. J’étais plongée dans un livre d’histoire, lorsque d’un coup, je sentis de l’air, plutôt un souffle qui caressait mes cuisses.
Cela, ne pouvait venir que de Nathan qui effectuait sa punition à quatre pattes juste devant mes jambes.
Peut être manquait il d’air ?
Un doigt sans doute effleura le haut de mon pied. Mais que faisait il ?
Il eut été malvenu de me baisser et d’aller regarder.
Plusieurs fois, sans doute son doigt caressa l’endroit indiqué.
-
Nathan, veuillez cesser de remuer !, lui demandais je sans me baisser.
-
Je ne fais rien ! Ça manque de place !
Aussitôt, le manège reprit. Je n’allais pas ameuter la salle de classe., mais, il était très remuant. Sans doute avait il besoin d’un vermifuge.
Ce remue ménage persévéra et je commençais à m’énerver plus à ma lecture.
D’un coup, j’eu la sensation de recevoir un liquide qui au début était chaud. Peut être avait il laissé échapper de la salive !
Bizarrement, ce liquide me paru abondant et il s’écoula dans mes talons, mais aussi, sa chaleur diminua pour devenir froid. C’était indisposant.
D’instinct, ma main glissa jusqu’à mon pied pour en saisir la teneur.
C’était gras, visqueux.
Je remontais ma main tartinée de la texture. Mes doigts en étaient barbouillés.
La texture, l’odeur.
Nooon !!!!!!!
Il n’y avait pas de doute, c’était du sperme. Le sperme de Nathan !!!!
Je ne pouvais rien dire sans provoquer un énorme scandale qui n‘irait pas dans le sens de mon autorité. Comment avait il osé ?
Ce m e r d e ux ne perdait rien pour attendre !
Il me restait encore un quarts d’heure avant le fin de la permanence et je ne sais pourquoi, je devins rêveuse et légère.
Il m’en arrivait des choses en 24h ! Moi qui était rentrée en hibernation sexuelle depuis ma déception amoureuse en moins de 24h, trois bites avaient éjaculé à cause ou plutôt grâce à moi.
Je revoyais la petite pine de Victor. La nettement plus grosse du sous directeur m’avait sauté et maintenant, cet a d o l e s c e n t pubère qui s’était soulagé sur mon pied. Mmm !
Je ne résistais pas et cachée par mon livre d’histoire, je me léchais un doigt avec gourmandise. Hum !, oui, il ne perdait rien pour attendre ce petit cochon de Nathan.
-
Quoi !!!!
-
Ban, c’est ton élève Nathan, celui que tu as puni. Il m’a éjaculer sur un pied.
-
Ah, ah, ah !, je m’en doutais, c’est un fétichiste.
-
Que dites vous ?; se mêla Olivia la rouquine.
-
C’est Nathan, il lui a juté sur les orteils.
-
Hihi !, moi, il me le fait tout le temps Bérangère..
-
Quoi !, il te fait cela et tu ne dis rien ?
-
Faut dire que je l’allume.
-
Tu l’allume ?
-
Ban oui. Ce garçon a des prédispositions à se retrouver sous le bureau. Alors, je l’éveille en fermant, en écartant et en refermant les cuisses.
Coucou la voilà et il ne résiste pas. Il se déballe et youp lala.
-
Tu sais que c’est le jeune frère de se looser d’Antoine, Carine ?
-
Qui est Antoine ?
-
Nathan comme Antoine sont les fils du conseillé municipal. C’est difficile de leur refuser quoi que ce soit !
-
Même ça Olivia.
-
Tu n’as rien vu. Antoine et sa bande de terreur de bacs à sable en imposent.
-
Que veux tu dire ?
-
C’est pourtant facile Carine. Tu crois que le p’tit frère né dans les choux et que la gamine vient d’une rose ?, s’interposa Bérangère.
Antoine ne zieutes qu’une seule histoire au bahut.
-
Ah, laquelle ?
-
Se tirer toutes ses profs !
-
Noon ! Mais c’est une racaille !
-
Comme nous toutes, tu vas devoir lâcher du lest. Si l’école fonctionne, c’est grâce au papa qui finance.
-
Alors, je dois rester muette sur le fait que son frère se soit délesté de son sperme sur mes chaussures.
-
Je ne vois pas trop ce qu’il y a à redire., fit Bérangère, sans être choquée.
-
Tu veux marquer le coup ?
-
Oui Olivia.
-
Cela ne prête pas à conséquence., m’affirma Bérangère.
-
Je ne vois qu’une alternative.
-
Quoi Olivia., s’interrogea Bérangère.
-
C’est fort simple. Vous le chopez à deux, sous prétexte de son excès.
-
Mais comment ?
-
Facile Carine. Sa punition, son éjaculation et vous le menacez de le dire à son père. Vous risqueriez de bien vous amuser.
-
Je pourrai lui mettre la fessée ?
-
Oui, j’imagine bien cela Bérangère.
-
J’adore fesser un jeunot avant de le branler.
-
Oh !!!!, fis je.
-
Vous allez bien vous amuser les filles.
À dix heure précise, je débarquais au secrétariat face à la vieille bique à lunettes.
-
J’ai rendez vous avec monsieur le directeur.
-
Oui, ils vous attendent.
-
Ils ?, fis je étonnée.
-
Monsieur l’inspecteur d’académie veut s’assurer de vos connaissances.
-
Je savais qu’il y avait des évaluations, mais, si vite, je suis surprise.
-
Je vous annonce à ces messieurs. Je vois que vous êtes en bonne voix !
-
Comment cela ?
-
Votre accoutrement vous fait ressembler à une petite pute !
-
Mais, je ne vous permets pas !
-
Allez donc vous plaindre !, ricana la vieille bourrique décatie.
-
Monsieur Mlle Carine K… vient d’arriver.
-
Qu’attendez vous pour la faire entrer !
-
De suite monsieur, de suite !
La mégère reposa son combiné et m’invita à la suivre.
Elle toqua deux fois à la porte, puis me fit pénétrer le bureau du proviseur.
Alors qu’elle allait refermer et s’effacer, d’un coup, le directeur donna un ordre.
- Non, restez Adèle. Vous ne serrez pas de trop pour assister à cette entrevue !
Monsieur l’inspecteur d’académie se leva. Comme monsieur le proviseur, son physique n’était pas très plaisant.
Il était fort grand, pas loin de deux mètres, mais il était également très mince. Son visage était comme son corps avec un nez cassé à la Gainsbourg et des yeux creux et luisants.
-
Je suis heureux de voir votre nouvelle tenue., me fit savoir le petit gros et chauve.
-
Cette demoiselle est elle obéissante ?, interrogea l’inspecteur.
-
Avez-vous les dessus adéquates ?
-
Oui monsieur !, fis je affreusement gênée.
-
Adèle, veuillez aider Mlle K… à se mettre à son aise.
-
Avec joie monsieur le directeur.
-
Vous n’allez pas me déshabiller devant elle et lui !, fis je offusquée.
-
Ce n’est pas très gentil pour elle et lui. Oseriez vous vous rebeller ?
-
Non monsieur !, fis je cassée.
La vieille peau s’approcha de moi. À son regard vicieux, je voyais bien qu’elle jubilait.
Sadiquement, elle déboutonna un à un les boutons de mon corsage puis, elle m’en débarrassa.
Comme indiqué, mon soutien gorge ne cachait pas grand-chose et mes tétons étaient apparents.
La secrétaire se positionna ensuite derrière moi, puis elle baissa la fermeture qui retenait ma mini jupe.
Aussitôt, celle-ci s’évapora à mes talons.
Je me retrouvais en talons, en bas et porte jarretelles, le pubis et les fesses à l’air face à trois personnels de l’éducation nationale.
De suite, je me sentis dévisagée, enfin non, pas le visage, mais plutôt le reste.
-
Jolie plante que voilà ! Je regretterai tout de même cette touffe trop épaisse qui nous prive de la vision de sa chatte.
-
Nous avons tout ce qu’il faut pour nous débarrasser de tout cela. Adèle, allez donc dans mon cabinet de toilette chercher un blaireau, de la crème et un rasoir.
-
Bien monsieur !
-
Je vous confies cette tâche. Mais est-ce réellement une corvée ?
-
Vous savez bien que non monsieur.
-
Vous aimez participer à nos jeux.
-
Oui monsieur, comme avec cette petite gourde de Docile.
-
Qui est donc cette Docile ?, demanda l’inspecteur.
-
Une petite idiote qui cède à mes moindres caprices.
-
Si nous la faisions venir elle aussi ?
-
Je n’y avait pas songé.
Le gros proviseur attrapa son téléphone et composa le numéro de la salle de classe.
-
Allo ! Qui ai-je à l’appareil ?
-
Ah, madame Machin ! Il y a bien trop longtemps que vous n’êtes venue me saluer dans mon bureau. Je compte sur vous, demain à 14h.
En attendant, j’ai besoin que vous me rendiez un autre service.
J’ai un besoin urgent de m’entretenir avec Mlle Docile.
- Je sais qu’elle est en cour madame Machin. Je ne vais pas vous payer à rien faire ou à copuler avec Duval.
Reprenez son cour et allez donc instruire nos chères têtes blondes sur ce qui se fait dans un lit.
Dix minutes plus tard, on toqua à la porte.
- C’est la Docile !, ce réjouie Adèle la secrétaire à lunettes le rasoir à la main.
Elle m’avait tartiné de savon à raser et me dépouillait de ma moindre pilosité.
En abus, elle prétendait qu’il lui était plus aisé pour travailler que de m’écarter mes grandes et mes petites lèvres. Mais, je sentais bien que deux doigts tourmentaient mon clitoris qui désormais était aussi dure qu’une bille.
-
Cette petite est très sensible monsieur, elle mouille du con !
-
Finissez de la rendre lisse et si cela vous dit, préparez le terrain.
Entrez donc Mlle Docile !
La porte s’ouvrit sur ma honte. J’étais couchée sur le bureau de monsieur le directeur. Nue, et le pubis en avant, je laissais à sa besogne la secrétaire m’épiler sous le regard très intéressé de monsieur l’inspecteur d’académie et de monsieur le proviseur.
-
Je commence à mieux distinguer les lèvres rougis de son vagin.
-
Une fois dégagé, il sera du plus belle effet de vous y planter.
-
J’y convoitise mon cher ami et je dois vous confesser que cela se bouscule dans mon slip ! Ma femme et sa vieille cramouille n’a pas cet attrait.
-
Moi-même, j’admet que je dois m’aider de petites pilules bleues, mais l’oiseau frétille de voir cette petite dinde se faire déplumer par ma secrétaire.
Vous enfin, j’ai failli vous attendre Mlle Docile. Donnez donc un tour de verrou.
- Oui monsieur le directeur., fit celle-ci comme à son habitude rougissante.
S’approchant effrontément, monsieur l’inspecteur cassa son grand corps mince en deux pour voir de plus près le travail de la vieille bique en se malaxant l’entrejambe à travers son pantalon.
-
Qu’attendez vous mon petit. Veuillez vous mettre dans la tenue adéquate lorsque vous pénétrée dans mon bureau !
-
Oui, oui monsieur le directeur !, fit la pauvre Mlle Docile.
-
Ensuite petite sotte, vous sortirez ma verge et mes glandes de mon pantalon.
-
Euh !, fit elle cramoisie le corsage ouvert.
-
J’aime glisser ma queue dans votre bouche de première communiante.
N’y résistant pas, l’inspecteur d’académie venait d’extraire sa virilité. Il bandait et son sexe était comme l’homme, grand et sec.
Il ne se déplaça que de quelques mètres et vint se positionner au niveau de mon visage.
Il déposa sa bite sur mes lèvres que je tentais de garder fermées.
- Pensez donc à votre évaluation. Il vous serait dommageable d’en être arrivé là et de tout perdre.
Ouvrez donc votre bec Mlle K….
Incapable de résister à son ordre dégradant, je cédais !
Tandis que déjà, Mlle Docile fouillait à l’intérieur du linge de monsieur le directeur pour en ressortir une verge flasque et blafarde.
- Sucez, sucez profond !
Pendant que j’officiais de la langue et des lèvres sur la bite de monsieur l’inspecteur d’académie, la secrétaire à lunettes m’avait obligé à relever haut les cuisses en ayant pour but de faire disparaitre les quelques poils qui ornaient la corole de mes reins.
La bite dans ma bouche coulissait. Deux doigts féminin tapotaient mon clitoris et je ne pouvais m’empêcher de mouiller en voyant Mlle Docile téter monsieur le proviseur.
Son organe s’était redressé sous les aspirent goulues de la prof d’arts plastique.
Le bureau directorial n’était que bruits de succions et de petits grognements masculin.
- Votre nouvelle recrue n’a pas encore de prédisposition à sucer une queue.
C’est bien regrettable monsieur le proviseur.
- Elle n’a pas encore eu le temps de s’adapter à mes méthodes de travail.
Je vous propose de changer de bouche. Mlle Docile et plus disciplinée. Il faut dire qu’elle en est plus à sa première bouffarde. De plus, cette sotte sait que si elle n’est pas à la hauteur, N’Guyen notre prof de sport lui explosera la rondelle à sec.
-
J’avoues que je suis admiratif de vos méthodes. Il n’y a qu’ici que le corps enseignant peut s’exprimer.
-
Mlle Docile allez donc sucer monsieur l’inspecteur d’académie. Quant à vous Mlle K…, ne me décevez pas., fit le Proviseur en présentant son membre court mais épais devant mon visage.
N’Guyen serait très heureux de vous forer l’intestin.
-
Nous n’allez pas m’imposer cela !
-
Tout dépend de votre aptitude à me pomper !
Tourmentée, je plongeais sur sa virilité qui commençait déjà à fléchir. Je ne voulais pas perdre ce que Mlle Docile avait réussi à avoir.
D’un coup, je fus abasourdie. Adèle, la vieille secrétaire à lunette venait de m’enfoncer un doigt dans le fondement tandis que sa langue se posa à ma crête et mouilla de salive mon bourgeon tendu.
Dans un mélange de dégout et d’excitation, je bavais fort sur la hampe directoriale alors que je me surprenais à ouvrir mes cuisses à mon maximum.
La vieille chouette à lunettes me vola un orgasme d’un premier cunnilingus qui me laissa pantoise et suffoquant, la bouche pleine du sperme directorial et de sa verge grasse et débandant.
Melle Docile poussait des râles à la limite de la nausée. En effet, monsieur l’inspecteur d’académie avait en tête de loger la totalité de sa longue virilité dans la toute petite bouche de la prof d’arts plastique.
La malheureuse avait le maquillage malmené et des trainées de sombres, mélange de rycil et de larmes s’écoulaient sur ses joues tandis qu’un amas de bave épaisse tartinait son menton ainsi que le chibre qu’elle devait ingurgiter.
Anéantie par la jouissance que je venais de connaitre, j’étais incapable de la moindre réaction et je cuvais les cuisses écartées, le dos à plat sur le bureau et le palais aromatisé au sperme.
Le secrétaire me délaissa et emboucha la pine flasque du proviseur. Elle attrapa ses couilles à pleine main et les pétris comme une boule de pâte à pizza.
Mlle Docile eut un dernier haut le cœur lorsque l’inspecteur après avoir obtenu gain de cause se retira.
Un filet de bave reliait la longue bite à la bouche de sa fellatrice.
Sans attendre, il marcha vers moi précédé de sa hargne. Il se positionna entre mes cuisses et d’un coup se propulsa dans mon ventre.
Monsieur l’inspecteur d’académie se démena et me pina avec rage.
Voyant Mlle Docile bien trop seule, le proviseur exigea que celle-ci vienne rejoindre sa vieille secrétaire.
- Vous ne serez pas trop de deux pour faire redresser tout cela !
Quant à vous monsieur l’inspecteur, lorsque le moment sera venu, ne jutez pas dans cette caille que je devine étroite.
Cette petite dinde de Mlle K… ne prend pas encore la pilule.
Aussitôt, le visage congestionné, mon assaillant retira le long serpent qui me taraudait l’entrecuisse et en se branlant avec frénésie, il éjacula sur mon ventre.
Peu de temps plus tard, Mlle Docile fut désignée pour aller laper et faire disparaitre toutes les traces de semence mâle qui engluaient mon bas ventre.
En arrivant au bahut en ce premier mercredi, je croisais ma marraine Olivia le jolie rouquine dans un couloir qui paraissait pressée.
-
Tu ne viens pas boire un café ?
-
Je ne peux pas Carine !
-
Ou vas-tu si vite ?
-
Je vais chez le dirloque. J’ai bien peur que ce soit mon jour de passer sous le bureau et de lui tirer son vieux jus rance.
-
Oh ! Toi aussi tu….
-
C’est le tarif, sauf qu’ingurgiter du sperme à 7h50 du matin en guise de petit déjeuner, ce n’est pas ma tasse de thé.
À la récréation de 10h, je fus interpellée par Adèle la secrétaire à lunettes.
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Vous êtes convoquée de suite chez monsieur le sous directeur ! Ne vous faites pas attendre !
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Mais qu’ai-je fait ?
La vieille chouette me planta sur place et s’éloigna en haussant des épaules.
Je toquais à sa porte. Aussitôt il m’ordonna d’entrer.
À ma grande surprise, il n’était pas seul.
À coté de lui se tenait debout la brune, Madame Courtois, la prof de langue vivante.
- Fermez donc ce verrou !, commanda mon supérieur hiérarchique.
À partir de ce moment, je savais qu’il allait se passer quelque chose.
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C’est donc elle ?, sembla ce moquer Madame Courtois.
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Oui, je vous assure ma chère que ce ne sera pas un luxe. Chacun des membres du corps enseignant de cette institution connait vos compétences en la matière. Il n’y a que vous qui saura la remettre dans le droit chemin.
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Et qu’est-ce que j’y gagne. Après tout, je risque de faire d’elle une concurrente !
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L’éducation nationale est mieux lotis que la trésorerie principale.
Mon après midi est libre. Ce qui n’est pas le cas de votre mari.
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Que proposez vous ?
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Il y a bien longtemps que vous n’avez pas fréquenté ma garçonnière.
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Il n’en tient qu’à vous !
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Que diriez vous d’y remédier ?
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Soit, j’accepte volontiers. Dégagez l’objet du délit, quant à vous l’incompétente, approchez donc.
Il est si simple, même pour une débutante de faire jouir un homme avec sa bouche.
Benoit libéra son organe à demi bandé. De suite, celle qui était surnommée lèvres en feu le réprimanda gentiment en se saisissant de la tige.
- Mon cher, baissez donc vos vêtements sur vos mollets. Comment distribuer une bonne pipe sans y mêler les glandes.
Tandis que le sous directeur finissait de se séparer de ses linges du bas, Mme Courtois le masturbait doucement.
Je voyais son membre s’intensifier mais aussi à chaque coulisse, le délicieux pruneau luisant changer de couleur.
- A genoux petite idiote !, m’ordonna la prof de langue vivante.
Comme moi, la brune se prosterna, l’œil lubrique en direction de la hampe grossissante en continuant ses glisses suaves.
- Ce n’est pas si compliqué. Tous les mecs on un talon d’Achilles. La faille principale est le gland. Il ne faut pas hésiter à y passer du temps.
Le filet, le méat, il faut agacer la couronne.
Pendant ce temps, les mains ne sont pas inutiles. La première branle et la seconde pétris les balles.
Le regard est important. Il faut montrer à son partenaire qu’on aime cela.
Mais, plutôt que de parler, regardez agir ma langue.
Aussitôt, sans aucune gêne, Mme Courtois déploya son cheval de Troie. Sa langue léchait, elle titillait, elle asticotait et je remarquais que le bout qu’elle taraudait devenait de plus en plus v i o l acé.
Parfois Mme Courtois admirait son travail. Son regard était explicite et elle jetait des œillades de garce à celui qu’elle maniait.
Elle n’hésitait pas à cracher sa salive sur le dard dressé avant de le branler à plusieurs reprises le temps de pomper une bourse et de revenir sur le champignon bien rouge.
- Une bonne pipe doit être fini bouche et un doigts fureteur sur le petit trou n’est pas à dédaigner.
Mon cher, voulez que je vous termine ou préférez vous que ce soit elle ?
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Il est bien compliqué de choisir. La débutante, l’experte !!!, fit le sous directeur grimaçant.
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Qu’attendez vous petite sotte ! Nous allons le finir à deux. Travaillez le du filet, moi, je m’occupe du méat.
Deux langues sur lui, Benoit ne tint pas longtemps, il grogna son plaisir, ma main écrasant ses bourses tandis que traitresse, Mme Courtois fouillait son fondement.
La prof de langue vivante était un véritable petit vampire et à ma plus grande déception, elle ne me laissa que les restes de la gouleyante déjection viriles.
A midi, en marchant vers la cantine, je suivais à quelques mètres Mr Duval, Benoit et Mr N’Guyen le prof de sport.
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Regardez Mlle Docile. Il semblerait qu’elle boite !, fit remarquer Mr Duval en l’apercevant cinquante mètres en amont.
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Que lui est il arrivée !, s’inquiéta le sous directeur.
Peut être devrait elle fréquenter l’infirmerie.
N’Guyen éclata de rire.
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Que ce passe t’il ?, interrogea le sous directeur en s’adressant au colosse black.
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Cette petite dinde a encore fait des sottises. C’est à croire qu’elle aime cela.
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Expliquez vous N’Guyen.
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J’ai été appelé en urgence chez big Brother à l’intercours de dix heure.
Cette petite bécasse faisait sa nareuse !
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Sa nareuse ?, questionna Duval.
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Elle refusait de brouter le minou de LebŒuf. Délit d’insubordination, vous connaissez Gras double.
Le dirloque lui a ordonné de poser ses nibards sur son bureau. La Lebœuf à reçu l’ordre de me stimuler un peu avant de m’enfoncer dans le cul de la récalcitrante à sec.
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Tu parle d’un suppositoire., s’éclaffa Benoit hilare.
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Ha ha ha ha !, s’époumona Le nabot Duval.
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Avec ce que je lui ai mis. Elle va marcher en canard pendant au moins deux jours.
Heureusement, il y a de la matière pour lui graisser l’anus.
À nouveau, les trois hommes ricanèrent.
Nous étions mercredi et après le déjeuner du midi, les élèves et les profs rentraient chez eux, sauf les lycéens collés ainsi que la prof de permanence qui n’était que Bérangère.
La colle se passa plutôt bien. Mes élèves, trois filles et Nathan étaient silencieux.
D’un coup Bérangère pénétra ma salle de classe furibonde.
- Nathan, il manque trois lignes !
Devant l’éruption v i o l ente de Bérangère, les quatre élèves c’étaient dressés debouts.
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Mesdemoiselles, asseyez vous ! Quant à toi Nathan, tu sais ce qu’il te reste à faire !
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Mais madame, pas devant tout le monde.
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Il fallait y réfléchir avant. Baisse ton pantalon !
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Non, je ne veux pas ! Pas devant les filles !
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Votons ! Mesdemoiselles, voulez vous assister à la punition de votre camarade. Levez la main si vous êtes pour !
Immédiatement les trois mains se levèrent.
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Je crois que tu n’es pas en position de f o r c e Nathan !
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P….. ! ça le fait pas !, râla l’impertinent !
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Mesdemoiselles ! Je vous laisse le plaisir de le déculotter !
Aussitôt les trois donzelles se précipitèrent sur le vilain garnement qui c’était masturbé et qui avait éjaculé sur l’une de mes chaussures à talons.
Nathan voulu se débattre, mais le petit mâle n’était pas de taille devant trois chipies déterminées.
En moins de deux, il fut délesté de son pantalon, puis de son caleçon. Les gamines vicieuses l’allégèrent même de sa chemise. De ce fait, Nathan se retrouva nu comme un vers et je remarquais qu’une des petites bourgeoises délurée, mine de rien lui tripotait les bijoux.
- Tenez lui les mains et les jambes écartées. Je vais lui mettre trois coup de règle sur les fesses. Mais nous en resterons pas là Nathan. Nous allons te mettre la honte.
Par trois fois Bérangère fracassa le derrière du coupable en y laissant trois marques rouges. Nathan ne faisait plus son fier et grimaça devant la douleur.
- Voilà, ce qui est dut et dut mon cochon. Maintenant, nous allons voir ce que nous allons voir.
Les filles ! Accrochez moi ce gros dégoutant le dos sur une de vos tables et nouez poignets et chevilles aux montants.
Cette fois encore, le masturbateur ne fut pas de taille et se retrouva dans une position dégradante, ses attributs virils exposés à trois de ses camarades et à deux de ses professeurs.
Comme chacune de membre de l’autre sexe, je matais en direction de ses parties nobles. Comme avec Victor, son sexe était celui d’un a d o l e s c e n t .
Sa verge était encore flasque et reposait sur deux outres biens pleines parsemées de poils.
D’un coup Bérangère attrapa à pleine main sa grappe.
- Ainsi, c’est cette ridiculité qui nous pose autant de problèmes !
En causant, je notais un regard jubilatoire, mais aussi que ses doigts décalottaient la petite verge.
- Les filles ! Que diriez vous de lui faire la vidange !
Nous sommes cinq, nous allons le faire éjaculer cinq fois.
À ce moment, les trois gamines applaudirent folles de joie.
Nouveaux applaudissements lorsque sous les sollicites de Bérangère, la jeune quéquette se redressa.
La professeur de français étirait la hampe sans douceur, limite à blesser le vilain. Malgré cela, rapidement Nathan se fit grimaçant et d’un coup éjacula avec f o r c e en jaillissant très haut.
Le flot de sperme fut accueilli par les cris de joie des élèves dévergondées.
- A toi Carine de le faire juter !
Je ne pouvais nier qu’à voir la petite séance de branlette, mon petit jouet était détrempé, aussi ne me fis je pas prier pour prendre en main la bestiole gluante pas encore débandant.
Un instant, je pensais à Victor et à sa petite biroute et sans me poser de question, je fis coulisser le membre qui rapidement retrouva de sa superbe.
En alternant mes secousses, je poussais Nathan dans ses derniers retranchements et d’un coup, il se figea.
De suite, la petite bite soubresauta et dans la continuité, il souilla mes doigts de semence glaireuse.
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A qui le tour ?, demanda Bérangère.
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Moi ! Moi ! Moi !, répondirent en cœur les filles de bonnes familles.
La première réussi l’exploit d’un redressement, mais cette fois le vaurien eu nettement plus de chagrin à expédier sa missive bien grasse.
Vint la quatrième qui effectua sur un organe raplapla !
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Madame ! Il bande pas !, rouspéta la tripoteuse.
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Je vois cela Marie Charlotte ! Ses couilles font triste mine.
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Je pourrai peut être le faire bander avec ma bouche ?
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Tu as déjà fait cela !
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Bien sur madame ! Dans les latrines des garçons et j’adore la jute !
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Petite coquine ! Montre nous comment tu t’y prend !
La dite Marie Charlotte emboucha la quéquette flasque et nous démontra que le vice n’attendait pas le nombre des années.
Elle connaissait sa partition et les mimiques de catin qui vont avec.
Pour elle, ce ne fut qu’une formalité d’obtenir le jus du jeune mâle qu’elle nous montra sur sa langue avant de l’avaler gourmande !
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Mmmm, c’est bon !
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A toi Anne Sophie !
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Non, non, non !, j’en peux plus s’écria Nathan.
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Cela t’apprendra à te masturber sur ton professeur. Anne Sophie suce moi ce branleur !
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Ce que, je n’ai jamais fait cela madame !
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Il faut un début à tout et ne me dis pas que tu es ignorante, je ne te croirais pas !
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Ban non. C’est souvent que je branle mes cousins et aussi mes copains.
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Ils t’ont jamais demandé de leur tailler une pipe ?
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Vous pensez bien que si ! Mais c’est par là qu’ils pissent !
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Anne Sophie ! Pour réussir dans la vie, une femme doit sucer !
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Ah !!!!
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Finissons en ! La colle tire à sa fin.
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Oui madame !
Timidement, la craintive approcha son petit nez vers la chose.
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Ca pue !
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Ca sent la bite et le sperme ! Vas y !
La jeune fille engoula le chamalo qui malgré ses efforts resta aussi inerte qu’une chambre à l’air percée.
- Ce garnement prétentieux n’a plus de jus dans ses batteries. Attends, je vais t’aider Anne Sophie. Continues à le travailler, je vais lui donner un coup de fouet.
À cet instant, Bérangère enjamba le sacripant au niveau du visage et écrasa son entrecuisse sur la bouche du contrevenant !
- C’est cela que tu reluque lorsque tu es sous le bureau. Sors la langue et lèche moi le baba !
Effectivement, cette petite variante bien agréable pour la professeur de français collabora à la levée des couleurs et Anne Sophie pu s’exprimer sur un dard duraille avant de voler et recevoir d’hommage les dernières gouttes de sensualité.
- Oh oui, c'est bon la jute !
De retour dans la maison de mes hôtes, je n’y trouvais que Jean, le nez plongé dans un livre.
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Monique et les e n f a n t s ne sont pas là !
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Non délicieuse Carine, ma moitié vient de partir en grande surface. Quant à Charles et Victor, le premier est au conservatoire et le second à son entrainement de football.
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Je vais en profiter pour prendre une douche ! La salle de bain du premier ne ferme pas à clé.
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Vas y. Fais ce que tu as à faire !
Je laissais Jean à sa lecture puis je montais à l’étage pour gagner le cabinet de toilette. Je refermais la porte sur moi-même, puis je me dévêtais complètement.
Le temps de régler la température de mon eau, je fis face au miroir au dessus du lavabo. La glace était assez spacieuse et j’admirais mon corps.
Je me trouvais plutôt belle et en repensant à ce que nous avions fait subir à Nathan, l’élève de troisième, une sorte d’excitation s’empara de moi.
Presque naturellement, mes deux mains allèrent se saisir de mes seins. De suite, la pointe du mamelon darda.
Émoustillée, je savais déjà qu’une fois debout dans la baignoire, sans aucun doute, la paume de douche insisterait un peu plus que nécessaire sur mon intimité.
Après le rupture de mon unique fiancé, j’avais prise cette habitude. La pression bien à fond sur jets saccadés, je ne résistais jamais bien longtemps pour connaitre le plaisir.
Cette journée avait été complètement folle. Une fellation au beau Benoit, puis cet a d o l e s c e n t que nous avions vidé de toute sa sève.
L’impulsion était trop forte. J’avais ce besoin de jouir.
L’espace d’un instant, en me papouillant les nichons, j’avais fermé les paupières déjà gémissante.
Ce fut en les rouvrant que je fus prise de panique.
Debout derrière moi, complètement nu, se tenait Jean !
Le temps que je réaliste, je vis sa verge se gonfler à la vitesse de l’éclair et d’un coup se redresser.
Jean avança sur moi. Il passa ses deux mains sous mes aisselles et il couvrit mes seins de ses grosses mains.
Aussitôt, son bassin s’incrusta au mien. Sa bandaison glissa sur ma raie et alla se placer entre mes deux cuisses, soudée à ma vulve suintante de m’être caressée la poitrine.
-
Non ! Il ne faut pas.
-
Ne dis pas de sottises. Tu en meure d’envie.
-
Monique ! Non Jean, vis à vis de Monique. Non, je ne veux pas !
-
Nous sommes un couple libertin. Tu pourras lui dire si tu veux !
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Oh non !
Pendant ce temps, Jean me malaxait les nichons. Il faisait rouler mes mamelons dardés dans ses doigts et sa queue, sa grosse queue coulissait gentiment dans mes cuisses.
-
Tu as un cul d'enfer. Courbe toi. Je vais te la rentrer un peu !
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Oh non, s’il vous plait !, dis je en m’exécutant tout de même.
Mon hôte tâtonna. Il tartina sa bite de cyprine et soudain, il poussa.
Pour l‘aider, j’ouvrai à peine le compas de mon entrecuisse.
D‘un coup, il s’enfonça bien à fond dans mon abricot en écrasant ses lourdes couilles sur ma vulve.
- Aaaaaaahhhhhh !, hurlais je en me sentant emplie toute..
..................
Mon contrat s’est terminé la semaine suivante, j’ai pu intégrer de suite un autre établissement sur recommandation.
carinedreams
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